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Protection Sociale Complémentaire Maladie QVCT
Publié le 1 juillet 2024 Modifié le 25 septembre 2024
Temps de lecture : 16 minutes

Protection sociale complémentaire fonction publique : FAQ

La réforme globale de la protection sociale complémentaire pour la Fonction publique territoriale, engagée depuis  2021, est une avancée majeure, visant à mieux protéger les agents, enrichir le dialogue social et accroître l’attractivité des employeurs. Relyens, partenaire des collectivités depuis l’origine du déploiement en 2011, souhaite sécuriser la démarche de promotion et d’adhésion pour faire de cette réforme une réussite.

Avec cette FAQ à vocation pédagogique, principalement axée sur le risque prévoyance, nous proposons un contenu opérationnel abordant notamment les thèmes principaux de la mise en place et du suivi d’une convention de participation, à destination des employeurs territoriaux et des agents des collectivités.

Comment construire une convention de participation ? 

Du niveau de participation de l’employeur au type de dispositif à déployer : toutes les préconisations pour la mise en œuvre d’un contrat adapté à vos agents.

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Comment lancer un marché de protection sociale complémentaire ?

Dans le respect des obligations réglementaires actuelles, les éléments à prendre en compte pour lancer un marché.

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Que se passe-t-il pendant le contrat de protection sociale complémentaire ?

Des modalités d’adhésion aux outils de pilotage pour gérer au mieux votre contrat, comment suivre votre contrat tout au long de votre convention.

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Comment construire une convention de participation ?

La prévoyance

La protection sociale complémentaire est un dispositif d’assurance permettant de pallier les conséquences financières de deux risques : la santé et la prévoyance. Concernant la prévoyance, il s’agit pour un agent de s’assurer contre les impacts d’une baisse de revenu suite à un arrêt de travail ou une mise en invalidité.

Cas d’un agent CNRACL en arrêt de travail pour raison de santé : cf image ci dessous 👇

CMO CML CLD

Quelle est la participation pour l'employeur ?

Les agents publics suivants pourront bénéficier de la participation de leur employeur public :

  • Les agents titulaires (et stagiaires) ;
  • Les agents non titulaires de droit public ;
  • Les agents non titulaires de droit privé.

Ainsi, peu importe le statut de l’agent (titulaires ou contractuels).

Les dispositions de l’ordonnance de 2021 et du décret de 2022 imposent aux employeurs territoriaux de proposer au 1er janvier 2025, une solution concernant la prévoyance, abondée à hauteur minimum de 7 euros par mois. Mais compte tenu de l’accord collectif signé en juillet 2023, le niveau de participation qui deviendra obligatoire, à terme, sera d’un montant de 50 % de la cotisation sur la couverture incapacité et invalidité.

La proratisation doit être prévue par une disposition législative ou réglementaire à défaut pas de proratisation. L’ordonnance fixe une participation minimale obligatoire, à hauteur d’un pourcentage du montant de référence fixée par décret (en santé comme en prévoyance), sans proratisation selon le temps de travail de l’agent.

L’employeur public doit participer au financement du régime de protection sociale complémentaire pour l’ensemble de ses agents non titulaires, sans distinction entre un emploi permanent et un emploi non permanent (article L. 332-23 du code de la Fonction publique).  Pour rappel, le droit à la protection sociale complémentaire est ouvert au regard de la relation de travail (titulaire ou contractuel) et non de la nature de l’emploi occupé.

En ce qui concerne les vacataires, ces derniers ne sont pas visés par la réforme de la protection sociale complémentaire, du fait de leur statut particulier.

Oui, la participation financière est obligatoire pour toutes les collectivités, selon le calendrier établi par décret.

L’effectif de la collectivité n’impacte pas l’obligation de participation de l’employeur public. Toutefois, les collectivités pourront mandater leur Centre de gestion afin de conclure pour leur compte une convention de participation, après une procédure de mise en concurrence.

Juridiquement il n’est pas interdit par les textes de modifier la participation des collectivités à la baisse. Le décret fixe uniquement les minimas de participation. Toutefois, les conventions de participation en cours une fois « tarifées » fixe le reste à charge en prenant en compte la participation des employeurs publics lors de mise en place de la couverture. Une diminution de la participation des collectivités entrainerait, de facto, une majoration des cotisations dues par les agents. En outre, compte tenu de la transposition à venir de l’accord collectif signé en juillet 2023, le niveau de participation qui deviendra obligatoire sera, à terme, d’un montant de 50 % de la cotisation sur la couverture incapacité et invalidité.

Quel est le dispositif à déployer ?

La généralisation de la couverture prévoyance via un contrat collectif à adhésion obligatoire est un apport très important de l’accord du 11 juillet 2023. Pour autant, la transposition légale de cet accord n’étant pas actée, le contrat à adhésion obligatoire ne peut être déployé que par des collectivités ayant conclu un accord majoritaire local prévoyant ce contrat. De ce fait, les consultations lancées en 2024 par les collectivités sont de natures différentes avec différents niveaux d’appropriation de l’accord collectif de 2023.

La mise en œuvre d’un contrat à adhésion obligatoire est possible, sans attendre la transposition réglementaire complète, à la suite d’une négociation collective avec mise en place d’un accord majoritaire décidé au niveau local. Il est fortement conseillé dans ce cas de s’inspirer de l’accord national et de reprendre ses dispositions fondamentales.

Quelles sont les prestations (garanties) ?

Garanties obligatoires En application du Décret no 2022-581 du 20 avril 2022 En application de l’Accord du 11 juillet 2023
Garantie Incapacité (agent CNRACL) Indemnités journalières complémentaires, garantissant une rémunération nette équivalente à 90 % du traitement indiciaire, de la nouvelle bonification indiciaire et 40 % du régime indemnitaire nets. Maintien de 90 % du revenu net (traitement indiciaire + nouvelle bonification indiciaire + régime indemnitaire)
Garantie Invalidité (agent CNRACL) Une rente garantissant une rémunération équivalente à 90 % de leur traitement net de référence. Maintien de 90 % du revenu net (traitement indiciaire + nouvelle bonification indiciaire + régime indemnitaire. (Attention : se reporter à l’article 1.1.1 de l’accord du 11 juillet pour le détail en fonction du % d’invalidité)

Attention les garanties ont été simplifiées dans le tableau, pour avoir le détail complet de chaque garantie, veuillez-vous référer aux textes de référence mentionnés.

Attention le niveau de garantie demandé dans les cahiers des charges de consultation conditionne fortement la cotisation finale. Ces garanties minimales sont aussi celles qui permettent de maintenir un bon équilibre de revenu entre un agent en activité et un agent en arrêt.

  • Le salaire de garde,
  • L’indemnité compensatrice d’absence,
  • La garantie de salaire,
  • La garantie de salaire durant les congés,
  • Le régime indemnitaire,
  • La bonification ancienneté,
  • L’indemnité de sujétion spéciale,
  • L’indemnité spécifique pour l’accueil d’enfants d’agents hospitaliers,
  • L’indemnité de congés payés pour les assistants(es) maternel(les) ne bénéficiant pas de garantie de salaire.

Ne sont pas inclues les indemnités de nourriture et d’entretien. Pour le paiement des prestations, nous intervenons sur les éléments de salaire qui ont fait l’objet de cotisation.

Comment lancer un marché de protection sociale complémentaire ?

Quelles sont les obligations en 2024 ?

Non, même si les collectivités vivent une phase de transition normative. Au 1er janvier 2025, les employeurs territoriaux doivent proposer une couverture prévoyance aux agents qui souhaitent être assurés. L’accord du 11 juillet permet aux collectivités de concrétiser cette avancée sociale majeure et cela reste le cadre à privilégier en termes d’action. Si des collectivités souhaitent attendre la transposition normative complète de cet accord avant de l’appliquer, elles doivent néanmoins tenir compte des garanties minimales et de la participation de 50% de l’employeur de l’accord du 11 juillet dans leurs consultations au risque de connaitre une fluctuation importante des cotisations à la fin de la période de transition.

Attention, les dispositions de l’ordonnance de 2021 et du décret de 2022 imposent aux employeurs territoriaux de proposer au 1er janvier 2025, une solution concernant la prévoyance, abondée à hauteur minimum de 7 euros. La transposition normative donnera l’échéance finale pour mettre en œuvre définitivement les obligations liées à l’accord collectif du 11 juillet.

Non, pas sur un même risque. En revanche, la collectivité peut opter pour la labellisation pour un risque et conclure une convention de participation pour l’autre risque. La transposition normative devrait conduire logiquement à la fin de la possibilité de labellisation en prévoyance.

Oui, à la suite d’une négociation collective avec mise en place d’un accord majoritaire décidé au niveau local.

Comme évoqué par la FNCDG (Etat de la transposition ) « Une convention de participation respectant les fondamentaux de l’accord national pourra faire l’objet, si nécessaire, d’une mise en conformité possible par voie d’avenant sans bouleverser l’économie de la convention au moment de l’entrée en vigueur des textes juridiques transposant l’accord ». Mais en prenant l’hypothèse que la convention actuelle respecte l’accord national en tout point hormis le caractère obligatoire,  il est difficile de penser que la variation du nombre d’adhérents entre mode facultatif et mode obligatoire n’induise pas un bouleversement de l’économie de la convention et donc l’obligation de relancer une procédure.

Quelles sont les estimations de coûts ?

La FPT dans son ensemble connaît une pyramide des âges montrant un vieillissement de l’effectif avec plus de 6 agents sur 10 qui ont plus de 45 ans (Données CNRACL 2023) et on sait que l’influence de l’âge est particulièrement visible sur les absences avec notamment une durée moyenne d’arrêt qui augmente avec l’âge. Cet effet âge pénalisant globalement la sinistralité du risque prévoyance va s’accroître avec les impacts progressifs du recul du départ en retraite des agents, à la suite de la dernière réforme des retraites.

Concernant les agents en demi-traitement, Relyens dans son Panorama 2023 a pu calculer un taux d’exposition au demi-traitement de 3,3 % (rapport entre agents absents à demi-traitement et effectif total) en croissance de 5,7 % en 5 ans.

Ces éléments conduisent à ne pas se référer à des tarifications trop anciennes pour estimer la valeur d’une cotisation. En mai 2024, en moyenne une tarification de la garantie incapacité et invalidité avec en prestation 90 % du revenu net pour une collectivité se trouve dans une fourchette comprise entre 50 et 65 €/mois/agent.

Dans l’accord national, il est mentionné la nécessité que soient prises les dispositions en vue de plafonner les possibilités d’évolutions tarifaires à un hausse annuelle maximale de 15% en matière de prévoyance.

Quels sont les critères d'appréciation d'une offre ?

A ce jour, le décret du 8 novembre 2011 étant resté en l’état, chaque candidat fournit à la collectivité territoriale ou à l’établissement public, une offre comportant les éléments suivants :

  1. Les conditions générales d’adhésion ;
  2. Les prestations offertes ;
  3. Pour chacune des options, le tarif proposé ;
  4. Les limites, âge par âge, au-delà desquelles ce tarif ne peut évoluer ;
  5. Une précision du degré effectif de solidarité et de la maîtrise financière du dispositif envisagé.

Le degré effectif de solidarité intergénérationnelle entre les adhérents ou les souscripteurs (point 5 ci-dessus), en fonction de la rémunération s’applique à la fois sur la couverture prévoyance et santé. La couverture prévoyance s’entend sans possibilité de mutualisation entre retraité et actif. Ainsi la dimension intergénérationnelle du critère de choix doit nécessiter à minima une clarification pour permettre aux collectivités d’utiliser ce critère de façon pertinente dans les consultations. D’un point de vue opérationnel, les critères de choix d’une couverture en prévoyance qui sont à valoriser au-delà de l’aspect tarifaire, se concentrent sur l’évaluation des compétences suivantes : la capacité à piloter un contrat (indicateur, suivi…), la capacité à prévenir le risque (programme de prévention…) et la capacité de l’opérateur à répondre et devancer les exigences du domaine Responsabilité Sociétale des Entreprise (RSE).

Voir ci-après :          Quels sont les outils nécessaires au pilotage d’un contrat collectif ?

Que se passe-t-il pendant le contrat de protection sociale complémentaire ?

Quelles sont les modalités d'adhésion?

En l’absence d’accord majoritaire, l’adhésion au contrat collectif est facultative pour l’agent. En revanche, si la couverture est rendue obligatoire par négociation collective, l’agent ne pourra pas refuser, sauf cas de dispenses d’adhésion expressément stipulées dans l’accord collectif local.

A titre purement indicatif les grands principes qui sont actuellement appliqués sont les suivants :

Le calcul du taux de cotisation initial tient compte des délibérations transmises par la collectivité, relatives aux modalités de maintien du régime indemnitaire.

Dans la pratique, sauf exception, il n’y a pas de réajustement en cas de modification desdites délibérations.

S’agissant de l’indemnisation d’un sinistre, les éléments de rémunération mensuelle ayant fait l’objet d’une cotisation sur le dernier bulletin de paie à 100 % sont pris en compte pour le calcul de l’indemnisation, qui se fait sur la base de ce bulletin.

Si postérieurement une prime est perdue du fait de sa maladie, elle continuera à être indemnisée à hauteur du taux de garantie souscrit.

  • Dans le cas où une prime est retirée suite à une disposition légale ou un changement de fonction elle cessera d’être indemnisée à la date effective du retrait.
  • S’agissant des astreintes, elles sont indemnisées sur base de celles que l’agent aurait dues effectuer.  Pour ce faire, la collectivité transmet un calendrier prévisionnel.
  • Les primes exceptionnelles (type déménagement) ne rentrent ni dans l’assiette de cotisation ni dans celle de remboursement.

Les cas de résiliation sont fixés par le décret du 8 novembre 2011. Il faut limiter les cas de résiliation pour prévoir une véritable mutualisation du risque sur la durée de la couverture (6 ans).

Les agents contractuels bénéficient du maintien de traitement, selon leur ancienneté. Le contrat de prévoyance aura vocation à intervenir lors du passage à demi-traitement.

C’est le fait générateur de l’arrêt de travail qui doit être pris en considération : en application de l’article 7 de la loi Evin, lorsque les arrêts de travail postérieurs à la date de résiliation sont la conséquence de la maladie initiale, il appartient à l’ancien organisme assureur de prendre en charge les suites (cf. arrêts de la Cour d’appel de Rennes du 22 novembre 2017, n° 15/03692 et de la Cour d’appel de Paris du 10 mai 2016, n° 14/21646).

En revanche, en l’absence d’organisme assureur précédant, la prise en charge doit être réalisée par le nouvel organisme assureur, sauf exclusion prévue par le contrat.

Comment piloter un contrat collectif ?

Les opérateurs  pour accompagner au mieux la collectivité dans le pilotage de son contrat, doivent fournir une analyse détaillée des opérations avec :

  • Réunion d’information et de formation des équipes dédiés au suivi de la convention de participation et du contrat d’assurance
  • Mise à disposition d’outils numériques à destination de l’employeur public pour assurer le suivi du contrat d’assurance
  • Délais de transmission des comptes de résultats de l’année n-1 et informations contenues dans ceux-ci (provisionnement frais de gestion, cotisations encaissées hors taxes, prestations payées, détail de la sinistralité par risque (CMO, CLM, CLD, invalidité, décès…), ratio prestations/cotisations…)

Concernant la prévention de l’absentéisme pour raison de santé, l’opérateur doit avoir la capacité de proposer en temps réel un système de suivi par la donnée qui permettra de piloter et maîtriser l’absentéisme, en identifiant les éventuelles dérives pour agir de façon réactive et adaptée.

Comment déployer efficacement ma convention ?

Suite à l’attribution du marché, la collectivité a peu de temps pour communiquer et accompagner ses agents dans leur processus d’adhésion. Le déploiement « mixte » digital et présentiel permet de déployer rapidement une communication auprès des agents, afin qu’ils bénéficient de toutes les informations nécessaires pour adhérer et ainsi optimiser le taux de mutualisation de la convention.

 

Quels sont les avantages d’un déploiement présentiel ? Créer des liens de proximité avec les agents et une communication personnalisée.

Les rencontres en personne offrent une opportunité de créer des liens personnels avec les parties prenantes (agents et DRH). Cela permet d’établir une relation de confiance, essentielle dans le domaine de la prévoyance et/ou de la santé, où la sensibilité et la confidentialité sont primordiales. La communication joue un rôle crucial dans l’appropriation et la compréhension de nos outils.
En rencontrant les agents en personne, les chargés de développement Relyens établissent un lien de proximité essentiel lors d’un changement de partenaire ou lors d’une mise en place d’un contrat collectif.

Les démonstrations en direct des espaces adhérent et employeur permettent aux utilisateurs de visualiser concrètement les avantages et les fonctionnalités de ces espaces, renforçant ainsi leur compréhension et leur intérêt.

 

Quels sont les avantages d’un déploiement digital ?

  • Une accessibilité élargie :

Le déploiement à distance élimine les barrières géographiques et permet d’atteindre un public plus large. Les utilisateurs potentiels qui ne peuvent pas se déplacer physiquement peuvent toujours bénéficier des services, ce qui élargit le spectre des personnes sensibilisées. Les personnes à mobilité réduites peuvent accéder aux informations essentielles pour leur adhésion.

  • Une plus grande flexibilité horaire

Les réunions virtuelles offrent une flexibilité horaire précieuse pour les agents ayant des contraintes liées à leur activité professionnelle. Ils peuvent ainsi participer aux réunions prévues à leur convenance, ce qui améliore leur satisfaction et leur engagement.

  • Réduction des coûts :

Le déploiement à distance permet de réduire les coûts liés aux déplacements et à la logistique.

  • Démarche RSE environnementale :

Le déploiement à distance permet une réduction de notre empreinte carbone.
Cette démarche instaurée au sein de Relyens a permis de réduire notre empreinte carbone en réalisant 40 % de nos rendez-vous en distanciel.

 

Quelle est finalement la meilleure stratégie pour déployer ma convention ?

Mettre en place une approche personnalisée en fonction de vos besoins et des caractéristiques de votre convention.

En combinant le déploiement en présentiel et à distance, l’approche est davantage personnalisée.
Il est possible d’initier le contact en ligne, puis consolider la relation lors de rencontres en personne, ou vice versa, en fonction des préférences individuelles des agents et services de la collectivité.

  • Suivi et soutien continus :

Cette synergie permet également d’offrir un suivi et un soutien continus.

Les réunions à distance peuvent être utilisées pour des mises à jour régulières, des consultations ou des questions, tandis que les rencontres en personne peuvent être réservées pour des moments clés du processus de souscription ou pour des précisions lors de changements règlementaires.

Pour gagner en efficacité et communiquer auprès du plus grand nombre (dont les personnes les moins mobiles), nous proposons de prioriser les réunions digitales. La stratégie de déploiement auprès des équipes RH et des agents fera l’objet d’une coordination lors du comité de lancement de la convention avec les équipes responsables de la mise en place de ce contrat.

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